• Les scouts Apache

    Soutien de famille et bête de combat, le scout est alors devenu la tête chercheuse de l'armée d'Arizona.

    Scout Potts

     

     

     De nombreux scouts Apache ont reçu des citations pour bravoure.

    Apache Scouts 

     

    Des éclaireurs de Tonto Apache ont été recrutés pour aider le général Crook à trouver le groupe du chef Delshay qui a fui la réserve de Fort VerdeLe chef des éclaireurs de Crook, Albert Sieber, a toujours semblé avoir ses éclaireurs Tonto avec lui tout au long des guerres Apaches.

    Les éclaireurs Apache de white Mountain ont servi avec la compagnie B sous les ordres du lieutenant Charles B. Gatewood de Fort Apache de 1885 à 1886. Le général George Crook a  fait l'éloge de ce groupe composé de plusieurs groupes. "Les Chiricahuas étaient les plus subordonnés, les plus énergiques, les plus infatigables et, à contrecœur, les plus efficaces de leur ordre.  Ces éclaireurs furent envoyés en Floride par le général Miles, avec ceux qu'ils suivirent pendant seize mois en 1885 et 1886. , comme si ces éclaireurs Apaches étaient hostiles à être punis. Ils ont été maintenus captifs en état d'arrestation symbolique en tant que prisonniers de guerre, avec le reste deGéronimo Le groupe dont ils avaient aidé l'armée à retrouver la trace pendant vingt-six ans avant d'être finalement libéré.

    Les éclaireurs Apache de Warm Spring ont servi dans la compagnie B sous les ordres du lieutenant Britton Davis et étaient sur le terrain à suivre Géronimo et Nana. En 1885, des éclaireurs de Mescalero accompagnaient la cavalerie du major Vanm Horn, qui tentait d'empêcher Géronimo, Nana et d'autres de traverser le Rio Grande, près de Fort Stanton.

     

    Un scout John Rope raconte :

    " Tout un groupe d'entre nous alla à San Carlos afin d'essayer de s'y enrôler. Mon frère et moi montions le même cheval. a San Carlos nous rencontrâmes des tas d'indiens venus dans le même but : des Yavapais, des Tontos, des San Carlos et des White Mountains. Nous nous alignâmes pour être choisis. Mon frère fut le premier enrôlé. Il dit dit aux officiers qu'il voulait être scout mais avec moi. Ils lui demandèrent qui j'étais et il les conduisit devant moi. Ces officiers m'examinèrent. Ils tâtèrent mes bras et mes jambes, frappèrent ma poitrine pour voir si je tousserais. Il firent ainsi avec chacun d'entre nous. Si l'on toussait ils ne nous prenaient pas. Comme je convenais, ils m'engagèrent. Ils en prirent quarante ; cela suffisait, dirent t-ils. J'avais 20 ou 25 ans à cette époque. Certains scouts emmenaient leur femmes. Nous portions en sautoir une cartouchière de 50 balles, notre fusil et notre gourde. Nous mangions très tôt le matin et très tard le soir, deux fois par jour seulement. Nous marchions toujours avec une avant-garde et une arrière garde. Ainsi pour sa première sortie John Rope  le ramena à San Carlos, sans avoir aperçu un seul "renégat", Pas la moindre trace de fuyards.

     

     

    Histoire

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