• Lettre protestant un traité

    Lettre traduite tant bien que mal en français.

    Lettre cherokee protestant le Traité de nouvel Echota

     

    Lettre de John en chef Ross, « au Sénat et Chambre des représentants »



    Au sol du Conseil d'argile rouge, nation cherokee, 28 septembre 1836



    C'est bien connu que pour un certain nombre de passé d'années nous avons été harcelés par une série de vexations, qu'il est considéré inutile pour exposer en détail, mais l'évidence dont notre délégation sera disposée à fournir. En vue d'apporter nos ennuis à une fin, une délégation a été désignée sur le 23ème de l'octobre 1835, par le Général le Conseil de la nation, vêtu avec de pleins pouvoirs d'entamer des arrangements avec le gouvernement des Etats-Unis, pour l'ajustement final de toutes nos difficultés existantes. La délégation n'a pas effectuer un arrangement avec le commissaire des Etats-Unis, puis dans la nation, a procédé, agréablement à leurs instructions dans ce cas, à la ville de Washington, afin d'être en pourparlers un traité avec les autorités des Etats-Unis.



    Après le départ de la délégation, un contrat a été fait par le Rev. John F. Schermerhorn, et certain Cherokees individuel, prétendant être un « traité, conclu chez nouvel Echota, dans l'état de la Géorgie, le 29ème jour du décembre 1835, par le Général William Carroll et John F. Schermerhorn, commissaires de la part des Etats-Unis, et les chefs, les headmen, et les personnes des tribus cherokee des Indiens. » Une fausse délégation, en violation d'une injonction spéciale du conseil général de la nation, a procédé à la ville de Washington avec ce traité feint, et par les représentations fausses et frauduleuses supplantées en faveur du gouvernement la délégation juridique et accréditée des personnes cherokee, et obtenues pour cet instrument, après avoir apporté des changements importants de ses dispositions, l'identification du gouvernement des États-Unis. Et elle nous est présentée comme traité, ratifiée par le sénat, et maintenant approuvée par le président [Andrew Jackson], et notre consentement dans ses conditions exigées, sous la sanction du mécontentement des Etats-Unis, et de la menace de la contrainte récapitulative, en cas de refus. Elle vient à nous, pas par nos autorités légitimes, le milieu connu et habituel de communication entre le gouvernement des Etats-Unis et notre nation, mais par l'agence d'une complication des puissances, civil et militaire.



    Par les conditions de cet instrument, nous sommes dépouillés de nos possessions privées, la propriété irrévocable des individus. Nous sommes dépouillés de chaque attribut de la liberté et de l'acceptabilité pour l'autodéfense légale. Notre propriété peut être pillée avant nos yeux ; la violence peut être commise sur nos personnes ; même nos vies peuvent être emportées, et il n'y en a aucun considérer nos plaintes. Nous denationalized ; nous sommes privés des droits civiques. Nous sommes privés de l'adhésion dans la famille humaine ! Nous n'avons ni la terre ni la maison, ni l'endroit de repos qui peut s'appeler nos propres. Et ceci est effectué par les dispositions d'un contrat qui assume venerated, l'appellation sacrée du traité.



    Nous sommes accablés ! Nos coeurs sont rendus malades, notre expression paralized, quand nous réfléchissons sur la condition dans laquelle nous sommes placés, par les pratiques audacieuses des hommes éhontés, quant à qui ont contrôlé leurs stratagèmes avec tellement la dextérité imposent au gouvernement des Etats-Unis, face à notre sérieux, solennel, et des protestations réitérées.



    L'instrument en question n'est pas l'acte de notre nation ; nous ne sommes pas des parties à ses engagements ; il n'a pas reçu la sanction de nos personnes. Les fabricants de lui ne soutiennent aucun bureau ni rendez-vous dans notre nation, sous la désignation des chefs, les hommes principaux, ou n'importe quel autre titre, par lequel ils se tiennent, ou pourraient acquérir, autorité pour assumer les rênes du gouvernement, et pour effectuer l'affaire et la vente de nos droits, de nos possessions, et de notre pays commun. Et nous sommes contraints solennellement à déclarer, cela que nous ne pouvons pas mais contempler l'application des conditions de cet instrument sur nous, contre notre consentement, comme acte de l'injustice et de l'oppression, qui, nous sont bien persuadées, peuvent être encouragées jamais sciemment par le gouvernement et le peuple des Etats-Unis ; ni pouvons nous les penser pour être la conception de ces individus honorables et à l'âme noble, qui se tiennent à la tête du Govt., pour lier une nation entière, par les actes de quelques individus non autorisés. Et, en conséquence, nous, les parties à affecter par le résultat, faisons avec confiance appel à la justice, la magnanimité, la compassion, de vos corps honorables, contre l'application, sur nous, des dispositions d'un contrat, dans la formation dont nous n'avons eu aucune agence.

                        

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