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  • Code source : Comment économiser

     Chacun d'entre nous peut faire un geste simple pour sauver les abeilles. Pour cela, il suffit de planter ces fleurs mellifères :


     
    Pourquoi ne pas construire un abri pour les abeilles dans votre jardin ? Il leur sera bien utile l’hiver venu !

    Vous pouvez le construire vous-même en suivant ce tuto vidéo
     
    Il est possible d'en acheter un tout fait pour pas trop chère ici

     

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  • J'ai aimé comme un fou, mais j'ai eu les idées suffisamment claires pour ne pas aimer comme un idiot. Il n'est pas si facile de trop bien aimer et tellement difficile d'aimer raisonnablement. Le mariage est une amitié, une camaraderie basées solidement dans le quotidien, dans les événements de chaque jour.

    Linda et Bruce

    Bruce Lee

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  • O toi que l'on nomme douleur

    qui viens sans joie et sans effort

    Tu n'es pas le bonheur

    Tu n'es pas le malheur

    Par l'homme, pour l'homme

    avec l'homme.

    Si tu te calmes quand vient l'automne

    Tu veilles sur nous jusqu'à la mort

    Compagne de nos jours

    Ennemie de toujours

    Patiente Taciturne Obstinée

    Rien ne sait ni ne peut t'arrêter.

    De notre coeur n'auras-tu pitié ?

    Où est-elle à la mesure de notre piété ?

    Tous, tu les as torturés :

    les innocents, les justes et les Saints,

    les martyrs et les assassins.

    Levée dés que sonne mâtines

    A la mort tu ne mets de sourdine.

    Et si j'osais te regarder. Cesserais-tu de me tuer ?

     

    (Inconnu)


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  •   Original      

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  • Laisse l'amitié croître lentement ; si l'on va trop vite, il se peut que rapidement, il n'en reste rien. Les véritables amis sont comme des diamants, précieux et rares.

    Bruce Lee

    Bruce Lee

     

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  • Buttom's & Frame

    Convolutions Filters

    Color Effects

    Color Filters

    Distorsion Filters

    Edges Square/Round

    Frame Marble/Stones

    Frame Texture/Wood

    Gradients

    Image Enhacement

    Lens Effect

    Lens Flare

    Noise Filters

    Paper Backrounds

    Paper Textures

    Pattem Générator

    Reder

    Spécial Effects 1&2

    Tiles Mirror

    Vidéofilter

     


  • Les premiers résultats d’une enquête nationale relative aux mortalités des colonies d’abeilles durant l’hiver 2017/2018.
    Cette étude a été menée à grande échelle par la Plateforme ESA (Epidémiosurveillance Santé Animale). Elle a été réalisée auprès de la filière et a obtenu quelques 14 000 réponses, permettant ainsi d’avoir « une vision plus juste de la situation sanitaire du cheptel apicole français », a déclaré Patrick Dehaumont, Directeur Général de l'Alimentation.

    Les premiers résultats sont hélas inquiétants…

     

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  • « Pour apprendre à boxer il suffit d'une nuit. Il faut une vie entière pour apprendre à

    combattre. »

     de Alessandro Baricco

     

    Clic sur la photo pour la voir en plus grand

    Réalisé chez PFS sur Planète Graphisme

     

     

     


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  • Traité de la traverse Sioux

     

    Le 23 juillet 1851, le "Traité de la Traverse de Sioux" (Traverse de Sioux Treaty) fut signé entre le gouvernement des États-Unis, et les Sioux du territoire du Minnesota et mis en application par la Commission des Affaires indiennes. Ce traité avait pour objectif........................

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  • 27/11/1940 - 20/07/1973

    Né à San Fransisco

    Année du Dragon chez les chinois

     

    C'était l'homme parfait de la naissance du 20ème siècle. Il était auteur, savant, professeur, philosophe, père de famille dévoué et pionnier des arts martiaux avec une énergie créative et un désir de grandir.

    Ce qu'il y a d'unique et spécial dans le message de Bruce, c'est que, tout comme sa philosophie ou sa façon de concevoir la vie, il envisage tout sans être limité par rien.

        Dans une célèbre phrase de son film "Opération dragon" , Bruce dit à son élève : "C'est comme un doigt indiquant un chemin vers la lune. Ne te concentre pas sur le doigt ou tu perdras toute cette gloire céleste".

     

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  •  Ce discours  a été rapporté par Dr. Henry A. Smith,négociateur du gouvernement, dans le journal Seattle Sunday Star en 1887 

     Chef SeattleSelon les Archives nationales des États-Unis National Archives and Records Administration, « L'absence de toute preuve contemporaine amène à douter sérieusement de l'exactitude des souvenirs de Dr. Smith en 1887, environ 32 ans après les événements évoqués. C'est pourquoi il est impossible ... soit de confirmer soit de contester la validité de ce ... message. »

    Si le contenu du discours n'est pas sûr, les témoins de l'époque sont tous d'accord pour dire que le discours dura environ une demi-heure, et que durant tout le discours, Chef Seattle, un homme assez grand, laissa une main sur la tête du gouverneur Stevens, homme de petite taille.

    Une deuxième version du discours fut publiée dans une langue plus moderne par William Arrowsmith dans les années 1960.

    Le discours redevint célèbre quand une troisième version commença à circuler, celle que tout le monde connaît aujourd’hui et qui date des années 1970. Cette dernière semble avoir été minutieusement travaillée et a peu de choses en commun avec l’original. C’est pourtant celle qui fut imprimée sur des posters, des CD  et même des livres d’enfants. Il fut même cité par Al Gore dans son livre Sauver la planète Terre en 1992. Cette version semble avoir été rédigée en 1971 par un scénariste américain, Ted Perry. L’affaire est révélée par le New York Times en avril 1992. Certaines affirmations de la version populaire confirment qu’il s’agit d’un faux : la traversée par le « fils qui parle » des montagnes de Seattle, alors qu’elle n’avait pas encore eu lieu, les bisons qui étaient inconnus dans cette région, et la mention d’un chemin de fer qui n’existera pas avant 1870. C’est une supercherie médiatique de l’ère écologique naissante qui, à sa révélation, a cependant amené ses détracteurs à préciser qu’elle n’enlève rien à la stature historique du Chef Seattle, ni aux idées des défenseurs de l’environnement.

     

     

     

     

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  • Crow-Dotted-Wave  (Jerome Crow Dog; 1833 - 1912)

    - était un sous-chef de Brulé Lakota ,

    - né à Horse Stealing Creek, dans le Montana .

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  • SINTE GLESKA

    (----/1881)

    Spotted Tail ("Queue Tachetée" en Français), fut d'abord appelé "Jumping Buffalo" dans sa jeunesse et reçu son dernier nom lorsque des trappeurs lui donnèrent des queues de ratons laveurs

     

    Spotted Tail

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  • Nouvelles de notre Biodiversité toute entière que nous souhaitons partager .
    Isabelle AUTISSIER, Présidente de la WWF France, a dénoncé cette semaine la pression constante de l’homme

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  • Connaissez-vous l’Abeille Noire ? 
    C’est l’abeille ancestrale, notre abeille originelle, « Apis mellifera mellifera » de son nom savant. Celle qui a résisté aux deux périodes de glaciation. Jadis espèce dominante en Europe, elle est aujourd’hui menacée. Il en reste à peine 10% en France. 
    Car oui, l’histoire se répète et dans notre recherche de rendement et de profits à tous prix, l’homme a fini par dégrader l’environnement naturel de l’abeille locale, la fragilisant.

    Abeille Noire

     

     

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  • Red Crow est né en 1830 d'une longue lignée de chefs dans la tribu Blackfoot.

    Chef Red Crow

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  • * À l'époque, une « tribu » désignait plus un groupe ethnique ou linguistique qu'une entité politique. Aucun chef ne parlait au nom de l'ensemble d'une tribu et les tribus étaient elles-mêmes divisées. Par exemple, certains chefs participèrent à des conflit tandis que d'autres restaient à l'écart.

    * La Femme Indienne est une épouse fidèle et obéissante. Son mari la respecte. Le guerrier ennemi à l'obligation de lui laisser la vie sauve. Elle confectionne les habits et les bijoux. L'hiver, elle s'occupe du bois et de l'eau. Les femmes sont les gardiennes du foyer. Dans de nombreuses tribus, elles assistent aux réunions du conseil. Elles partagent les mêmes peines et les mêmes joies que les hommes de la tribu. Dès l'âge de six ans, la petite indienne aide sa mère aux petits travaux du "ménage". A dix ans, elle monte à cheval comme un guerrier, s'occupe de ses frères et sœurs et prépare le pemmican ( viande de bison séchée ) et les peaux des petits animaux tués par son père. Elle sait tout faire quant à quatorze ans , on la marie à un jeune brave plus âgé qu'elle.

    (la polygamie était coutumière chez les indiens) Un homme pouvait épouser autant de femmes qu'il le souhaitait - à la seule condition qu'il pût les nourrir. La polygamie n'était en aucun cas synonyme de discrédit social pour les femmes.  Dans bien des cas, elle était suggérée par la première épouse qui, en invitant son mari à prendre une plus jeune femme, cherchait à se débarrasser de certains fardeaux domestiques. L'homme peut épouser deux sœurs, cela avait l'avantage de rassembler au sein d'une même famille conjugale des jeunes femmes liées par le sang et par une amitié de longue date. Bien plus, elle renforçait les liens de la famille. Dans ce cas-là, l'influence de la branche féminine surpassait, ô combien, celle de l'époux et, quand la résidence était située sur le territoire de la famille de la femme, la cohésion de la bande des femmes était démultipliée. Un mariage organisé de cette façon et conjugué au pluriel signifiait pour la famille l'apport d'un homme responsable et vigoureux.  

    A la mort de son frère, un homme était invité à épouser sa veuve. Ce serait déraison de penser que tous les hommes sautaient sur l'occasion d'épouser la veuve de leur frère. Il est plus probable que certains d'entre eux redoutaient plutôt l'idée de survivre à celui-ci.

    * Les noms donnés aux enfants appartenaient à la famille et un jeune homme devrait gagner un nouveau nom par ses exploits. Les filles conservaient leur nom de naissance toute leur vie

     * L’instruction se faisait à travers le récit d’histoires dont le héros se nomme Napi. Ces histoires contenaient toujours une leçon. Napi est un personnage mythique qui personnifie toutes les forces et faiblesses de l' être humain, et qui dispose de pouvoirs surnaturels.

    * Les animaux protecteurs étaient peints par les guerriers sur leurs tipis.

    * Avant et après un raid, les jeunes hommes ne devaient pas manger la viande des côtes ni les jarrets du bison parce que les parties correspondantes de leur propre corps s’en trouveraient affaiblies. Personne ne devait fumer avant un raid de guerre parce que fumer avait tendance à donner soif et à couper 

    le souffle. Chaque membre du groupe devait emmener tout les vêtements sacrés qu'il possédait comme les coiffures de guerre, boucliers, beaux habits, etc. Tout cela devait être transporté à dos d’homme avec 10 à 15 paires de mocassins de rechange. Comme les hommes ne s’encombraient pas d’ustensiles de cuisine, ils emportaient de la viande séchée. Le gibier tué en route étant consommé sur place

    * Outre les maladies et les guerres, le whisky fut une autre cause de mortalité chez les indiens, sans parler des problèmes causés au sein des tribus et des familles.

    * Chez les Indiens existe une division stricte du travail. Certaines tâches sont réservées aux femmes : telle la cuisson du pain au four . Par contre l'homme chasse et construit .

    * A l'époque l'entraide était indispensable, un homme seul ne pouvait survivre. Chaque domaine était pris en charge par un spécialiste. La survie de la communauté dépendait de tous.

    * Le père enseigne donc très tôt à son fils l'usage et le maniement de l'arc, pour la chasse mais aussi pour le combat.

     Chez les Comanches, dès 11 ans un garçon allait au champ de bataille. Les femmes adoraient exhiber les trophées de guerre de leurs maris. Elles en étaient très fières.

     

    * La règle voulait qu'on ne refuse pas un cadeau offert et qu'on en fasse un en retour même s'il devait s'agir d'un présent modeste.

    Les Sioux se faisaient donc un devoir d'offrir. Les jeunes apportaient de la nourriture aux anciens, les chasseurs partageaient avec les infirmes, les hommes offraient des cadeaux aux orphelins...  Le don pouvait être informel, mais donnait également lieu à des cérémonies.

    Cette cérémonie reposait sur un concept de confiance réciproque et, de plus, était partie intégrante du système économique des Sioux. Donner impliquait de recevoir et la seule équivalence admise était celle de l'intention et non de la valeur marchande. De plus, celui qui voulait être considéré devait donner beaucoup, donc produire beaucoup, donc chasser et avoir dans son cercle familial d'habiles artisans. Plus il donnait, plus il était un personnage digne d'intérêt et susceptible d'accéder, s'il en était capable, à de hautes fonctions. La cérémonie consistait donc, à l'occasion d'un événement familial marquant, à donner TOUT ce que l'on possédait aux autres membres de la tribu, sachant que l'on recevrait une contrepartie permettant de ne pas être dans le dénuement ! Bel exemple de confiance et de cohésion d'une société.  Je vous conseille la lecture du livre de R.B. HASSRICK "Les Sioux" aux éditions Terre Indienne où vous pourrez retrouver toutes les informations relatives à la morale des Sioux

     

    Histoire

     

     

     


  • Les Blancs se sont toujours moqués de la terre, du daim ou de l'ours. Quand nous, Indiens, tuons du gibier, nous le mangeons sans laisser de restes. Quand nous déterrons des racines, nous faisons de petits trous. Quand nous construisons nos maisons, nous faisons de petits trous. Quand nous brûlons l'herbe à cause des sauterelles, nous ne ruinons pas tout.

    Pour faire tomber glands et pignons, nous secouons les branches. Nous ne coupons pas les arbres. Nous n'utilisons que du bois mort. Mais les Blancs retournent le sol, abattent les arbres, massacrent tout. L'arbre dit : "Arrête, j'ai mal, ne me blesse pas." Mais ils l'abattent et le découpent en morceaux. L'esprit de la terre les hait. Ils arrachent les arbres, la faisant trembler au plus profond.

    Comment l'esprit de la terre pourrait-il aimer l'homme blanc ? Partout où il la touche, elle est meurtrie.

                            Une vieille femme wintu

     

    Quel traité le Blanc a-t-il respecté que l'homme rouge ait rompu ? Aucun.

    Quel traité l'homme blanc a-t-il jamais passé avec nous et respecté ? Aucun.

    Quand j'étais enfant, les Sioux étaient maîtres du monde ; le soleil se levait et se couchait sur leur terre ; ils menaient dix mille hommes au combat.

    Où sont aujourd'hui les guerriers ?

    Qui les a massacrés ?

    Où sont nos terres ?

    Qui les possède ?

    Quel homme blanc peut dire que je lui ai jamais volé sa terre ou le moindre sou ? Pourtant ils disent que je suis un voleur.

    Quelle femme blanche, même isolée, ai-je jamais capturée ou insultée ? Pourtant ils disent que je suis un mauvais Indien.

    Quel homme blanc m'a jamais vu saoul ?

    Qui ai jamais venu à moi affamé et reparti le ventre vide ?

    Qui m'a jamais vu battre mes femmes ou maltraiter mes enfants ?

    Quelle loi ai-je violée ?

    Ai-je tort d'aimer ma propre loi ?

    Est-ce mal pour moi parce que j'ai la peau rouge ?

    Parce que je suis un Sioux ?

    Parce que je suis né là où mon père a vécu ?

    Parce que je suis prêt à mourir pour mon peuple et mon pays ?

                                 Sitting Bull, chef Sioux hunkpapa

     

     

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