• «Les criminels savent pourquoi ils sont condamnés, pas les malades.»

     Christine Orban

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  • «Quand on n’a pas ce que l’on aime Faut aimer ce que l’on a.»

     Serge Gainsbourg

    Variantes de Macha

    Variante chez Macha

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  • "Mes amis, retenez ceci, il n'y a ni mauvaises herbes ni mauvais hommes. Il n'y a que de mauvais cultivateurs."

    Victor Hugo

    Variantes de Vaniyé

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    Variantes de Vaniyé

     

    Variantes de Vaniyé

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  •  

    Pocahontas

    Malheureusement, aucun écrit nous révèle ses pensées, tout a été raconté par ceux qui l’ont croisé ou vécu auprès d’elle.
    Pocahontas est née vers 1595. Elle était une Amérindienne de la tribus Powhatans, fille du Chef Powhatan.

    Ses vrais prénoms étaient Matoaka et Amonute. Pocahontas était un surnom d’enfance qui signifie « petite dévergondée ».

     

    En 1607, un des colons de la Virginia Company, John Smith, fut capturé par un groupe de chasseurs Powhatans. Il était prêt à être exécuté lorsque Pocahontas qui avait environ 12 ans, se jeta sur lui pour le protéger et demander sa grâce.

    Une relation amicale s’est établie entre Smith et Pocahontas. Cette dernière venait souvent jouer dans la colonie. Certains indigènes pensèrent que leurs terres étaient menacées car la colonie s’agrandissait et des conflits débutèrent.

    L’année suivante, Pocahontas sauva Smith une deuxième fois . Elle serait venue prévenir les Anglais que son père le Chef Powhatan projetait en fait de les tuer lors d’une invitation . Les Anglais restèrent alors sur leur garde et le projet n’abouti pas.

    Quelques temps après, une blessure obligea Smith à retourner en Angleterre . Les Anglais déclarèrent aux indigènes dont Pocahontas, que Smith était décédé. 

    Contrairement au dessin animé, rien n’indique qu’ils ont été amant.

    Pocahontas avait épousé un guerrier appelé Kocoum.

    Au cours de l’année 1613, Pocahontas fût capturé par les colons. Le but était de l’échanger contre plusieurs prisonniers anglais détenus par son père ainsi que des armes et des outils que la tribu avait volé . Chef Powhatan renvoya les prisonniers mais ne rendit pas les armes et les outils. Pendant un an, Pocahontas fut retenue captive.

    Elle en voulut à son père pour l’avoir estimée moins importante que des armes ou des outils et elle préféra rester vivre avec les Anglais.
    Elle appris les bons usages et la courtoisie de l’époque, mais aussi le christianisme et l’anglais. Elle fut baptisée et son prénom devint alors Rebecca.

    Pocahontas rencontra John Rolfe. Ce dernier tomba amoureux d’elle. On ne sait pas du tout si c’était réciproque, mais quoiqu’il en soit, ils se marièrent en avril 1614 et ils eurent un enfant, Thomas Rolfe 

    Pocahontas fut envoyée promouvoir sa région auprès des Européens. Elle était chargée de garantir que les indigènes du Nouveau Monde ne représentaient pas une menace et que la sécurité des colonies était assurée afin d’attirer de nouveau colon. Les Rolfe allèrent en Angleterre où ils étaient accompagnés d’un petit groupe indigènes Powhatans.

    C’est là que Pocahontas apprit que John Smith était bien vivant . Ce dernier rendit visite au couple au début de 1617.
    La même année, le couple décida de retourner en Virginie. Pocahontas tomba malade sur le bateau. Débarquée à terre, elle mourut peu après le 21 mars 1617. Son mari veuf ne se remaria pas et retourna en Virginie avec leur fils.

    John Smith John Smith

    Pocahontas Pocahontas

     

    RETOUR


  • Désireux de traverser une rivière, un scorpion demanda à une tortue : » Prends-moi sur ton dos pour m’aider à traverser et rejoindre mes frères. – Que je te prenne sur mon dos, tu n’y penses pas. Tu es bien trop dangereux ! – Ne sois pas bête, je veux traverser, pas me noyer. » Après de longues palabres, la tortue se rendit compte que le scorpion voulait vraiment rejoindre ses comparses. Elle le chargea sur son dos et entama la traversée. Parvenue au milieu de la rivière, le scorpion tenta de piquer la tortue sans parvenir à traverser la carapace. Et la tortue de s’écrier : » Que diable cherches-tu à percer ? – Probablement le fond de ma nature. – Eh bien ! Je vais te révéler le fond de la mienne, lui cria la tortue avant de s’enfoncer dans les profondeurs. «


  • Les humains, qui sont-ils ?

    Ce sont des abrutis

    Que font-ils ?

    Des conneries.

    Pourquoi ce goût de violence,

    Et pour prouver quoi ?

    Qu’ils sont les plus forts ?

    C’est bien facile

    Avec un flingue entre les mains.

    Ils exterminent les animaux

    Ils détruisent la nature,

    Mais ôtez leur les armes

    Et que deviennent-ils ?

    Moins que pas grand-chose : Rien

    Comment peuvent-ils être aussi crétins ?

    Qu’ils s’entre-tuent d’accord,

    Mais qu’ils laissent vivre les Saints.

     

    C.Sylvie (1979)


  • De quelqu'un qui n'entre pas dans nos normes, on dit souvent :

    "Il a un p'tit vélo dans sa tête"

    Mais si ce p'tit vélo ......

     

    Comme tout le monde, j'avais un p'tit vélo dans ma tête

    Comme presque tout le monde, je l'avais bien caché

    Et personne ne le voyait

    Et puis, un beau jour, je l'ai laissé partir

    Et il s'est mis à circuler dans ma tête

    Il s'est mis à faire son manège.

     

    Il a circulé dans mon cerveau

    Il a visité tous ses coins et ses recoins

    Et il a trouvé plein de casiers..... bien organisés.

     

    Il a d'abord vu celui de l'éducation enseignement

    C'était impressionnant avec ses deux et deux égalent quatre,

    Ses règles de grammaire,

    Ses cours d'histoire où on parlait de guerres, de rois, de dates ....

    Tout était bien cadré, rien ne manquait

    Pour réussir, il suffisait de le faire fonctionner

    Comme à l'école quand on écoutait le maître sans rien dire.

     

    En continuant sa ronde, mon vélo est tombé sur le casier religion

    Là aussi c'était parfait

    On savait ce qu'on devait croire..... et à qui obéir

    Il y avait Dieu, bien sûr

    Et puis le pape, les évêques, les prêtres,

    Et enfin les gens

    Evidemment ces derniers ne pouvaient faire qu'obéir

    Puisque les autres étaient au-dessus d'eux

    Il n'y avait pas de problèmes, ça devait marcher ainsi.

     

    Au détour d'un virage, mon vélo s'est heurté au casier société

    On y retrouvait encore tout ce qu'il fallait pour que l'ordre y règne

    Chacun était à sa place : le patron et l'ouvrier

    Le responsable et l'administré, le militaire et le civil...

    Pour être heureux, il suffisait de respecter la règle du jeu

    Des casiers, mon p'tit vélo en a trouvé bien d'autres.

     

    Je ne peux pas les décrire

    Mais tous se ressemblaient étonnamment

    Ce que je peux dire c'est qu'il a continué son manège dans ma tête

    Et, peu à peu, dans les casiers, "ça ne tournait plus très rond"

    Deux et deux commençaient à faire vingt deux

    Les rois, les guerres étaient remplacés par la vie des gens

    Et leur combat pour vivre

    Dieu était au milieu de son peuple, avec le pape, les évêques, les prêtres

    Qui ne pouvaient être ailleurs puisque Dieu s'était déplacé

    Dans les usines, chacun participait,

    Les décisions étaient prises en commun

    Le militaire avait perdu son uniforme

    Le responsable rendait des comptes.

     

    Vraiment , ça ne tournait plus rond

    C'était une ivresse qui m'envahissait

    On m'avait tracé une route toute droite

    Qui devait m'amener au bonheur

    Et voilà que je marchais de travers....

    Et j'en riais

    On pouvait bien se moquer, l'avenir s'ouvrait devant moi

    Je pouvais l'imaginer puisque les règles avaient changé

    Puisque les casiers eux-mêmes étaient entrés dans la ronde,

    Dans la fête de ma tête

    Alors, je me suis dit :

    "Si chacun laissait son p'tit vélo circuler dans sa tête

    Ca changerait beaucoup de choses dans notre monde

    Et si ce p'tit vélo, c'était un grain de folie,

    Ce quelque chose de l'Esprit qui nous souffle

    L'utopie d'un monde nouveau"

    (Inconnu)

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  • Armes Arc Sioux

    Armes Arc Arapahoe

    Armes Arc Navajo

    Armes Flèches

    Armes Flèches Sioux

    Armes Casse tête Sioux

    Armes Casse tête Pawnee

    Armes Couteau à scalper

    Armes Couteau Cree

    Armes Couteau Oklahoma

    Armes Tomahawk

    Armes Tomahawk Cheyenne

    Armes Hachette

    Armes 

    Lances Algonquienne

    Armes

    Lance de plumes (Chef)

    Armes

    Winchester 1866

     

    Armes et Parures

     


  • Mandella (bouclier de guerre)

    ParrureParrure

     

     

    Parrure Bouclier Sioux

    Parrure Bouclier Pawnee

    Parrure Bouclier Kiwoa

    Parrure Bouclier Pawnee

    Parrure Bouclier Deer (médecine)

    Parrure Pare flèches

    Parrure Bouclier de guerre

     

    Armes et Parures

     

     

     

     

     



  • 2 commentaires
  • LA PRIÈRE DU CHAT

    A MON MAÎTRE...
    Ne me prends pas pour esclave,
    Car j'ai en moi le goût de la liberté.
    Ne cherche pas à deviner mes secrets,
    Car j'ai en moi le goût du mystère.
    Ne me contrains pas aux caresses,
    Car j'ai en moi le goût de la pudeur.
    Ne m'humilie pas
    Car j'ai en moi le goût de la fierté.
    Ne m'abandonne pas,
    Car j'ai en moi le goût de la fidélité.
    Sache m'aimer et je saurai t'aimer
    Car j'ai en moi le goût de l'amitié..


  • L'Indien et "frère Loup" :

    Plus longtemps que nous, les Indiens ont gardé un mode de vie semblable à celui du loup, c’est-à-dire en clans nomades vivant de chasse, de pêche et de cueillette. A vrai dire, c'est pour l'éternité que les Indiens ont juré fidélité à un système proche de la nature. En plus d'être durable pour eux-mêmes, celui-ci respecte aussi bien la Terre et ses ressources que chacun des êtres vivants et assure à la nature toute entière une survie saine et complète. L'Indien remplit humblement le rôle qui est le sien, celui de grand prédateur, au même titre que le loup, son frère. C'est pourquoi le loup est toujours resté un ami et un « maître des chasses » aussi respecté que la nature qu’il chérit. Mais cette belle complicité et son équilibre de vie ont été brisés ensemble au cours de la colonisation. Aujourd'hui encore, c'est dans cette douleur que le loup et l'Indien sont le plus souvent réunis.

     

    Chez de nombreux Indiens, notamment parmi les populations de la côte pacifique nord-ouest du Canada, le rituel du loup est l’initiation qu’empruntent les enfants pour devenir hommes. Le « klukwana », la danse du loup, est un rituel qui ouvre la saison sacrée de l’hiver où les hommes entrent en communication avec les esprits. C’est durant cette période que les enfants et les novices recevaient le savoir des ancêtres sous forme d’"histoires sacrées" - le mot « mythe » à une connotation péjorative dans nos cultures de la rationalité. Ils apprendront tout ce que le loup a transmis aux fondateurs de leur tribu à travers la force et le courage, ou les pas et les chants que les danseurs, masqués à l’image de l’animal, exécutent en son honneur.

    Mais, plus généralement, toutes les tribus indiennes ont un grand respect du loup.

    Les Indiens ont su  écouter, observer et prendre exemple. 

    Bien plus qu'une "vénération", c'est un profond respect qui habite l'Indien à l'égard du loup. L'inverse est probablement vrai également. Plusieurs tribus ont, en effet, uni "le loup et l'Indien", d'égal à égal. 

     

     

     

    Un élément majeur rapproche encore l’Indien et le loup : la colonisation. Leurs destinées ont forcément été liées par les colons dans leur conquête de territoire. Les Indiens doivent être expulsés car ils n’ont pas su exploiter la terre, comme la Bible le commande. Le loup, on le sait, a déjà été déclaré nuisible dans cette perspective.

    Ici, bien plus qu'une espèce, c'est un mode de vie commun au loup et à l'Indien que l'on entendait détruire. Au nom de quoi ? D'un dieu, dit-on, mais aussi d'une prétendue incompatibilité entre deux modes de vie.  

     C’est donc un double génocide  

     

    Loup

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     

     

     

    Loup


  • l'affaire de Leonard Peltier

     

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  •  


  • Elle Avoue à Sa Grand-Mère Que Son Mari la Trompe... Voici Ce Que sa

    Grand-Mère Lui Dit.

    Voici une bonne leçon de vie, valable pour chacun d'entre nous, quel que

    soit le stade de notre vie.

     

       Vous comprendrez rapidement pourquoi..

    Lire la suite...


  • Des Pourquoi qui ont du poids, de très bonnes questions me semble t'il !?
    Réalisons que souvent, les retours de bâtons sont les résultats même de notre
    propre manque d’honnêteté .Un monde qui tourne rond, sans ce sale orgueil,
    vous tente pas ?

    Pourquoi devoir tout jeune déjà penser à son futur ?
    Pourquoi devoir toujours se prendre au sérieux dans la vie ?
    Pourquoi devoir serrer des mains qui vous répugnent ?
    Pourquoi devoir mentir pour ne pas blesser autrui ? 
    Pourquoi devoir garder des liens qui nous retiennent ?
    Pourquoi devoir rester avec un être que l'on n'aime plus ?
    Pourquoi devoir se taire quand plus rien n'est tolérable ?
    Pourquoi suivre le troupeau lorsque qu'on veut être ailleurs ? 

    Je me verse des larmes dans une coupe pleine à déborder, et lève mon verre à l'insouciance de l'enfance
    .

     

     

    ( ? ) 

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  • Il était une fois un homme assis près d’une oasis, à l’entrée d’une ville du Moyen-Orient.

    Un jeune homme s’approche et lui demanda :

    « Je ne suis jamais venu ici. Comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? »

    Le vieil homme lui répondit par une question :

    « Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ? »

    « Egoïstes et méchants. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’étais bien content de partir »,

    « Tu trouveras les mêmes ici » lui répondit le vieil homme.

     

    Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approcha et lui posa la même question :

    « Je viens d’arriver dans la région. Comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? »

    Le vieil homme répondit de même :

    « Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ? »

    « Ils étaient bons, bienveillants, accueillants, honnêtes. J’y avais de nombreux amis et j’ai beaucoup de mal à les quitter ».

    « Tu trouveras les mêmes ici » lui répondit le vieil homme.

     

    Un marchand qui faisait boire ses chameaux, avait entendu les deux conversations. Dés que le second jeune homme s’éloigna, il s’adressa au vieillard sur un ton de reproche :

    « Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la question posée par deux personnes ? »

    « Mon fils, dit le vieil homme, chacun porte son univers dans son cœur.

    D’où qu’il vienne, celui qui n’a rien trouvé de bon par le passé ne trouve rien ici non plus. Par contre, celui qui avait des amis dans l’autre ville trouvera ici aussi des amis loyaux et fidèles. Car, vois-tu, les gens sont vis-à-vis de nous ce que nous trouvons en eux »,

     

                     « Si donc ton œil est sain,

                     Ton corps tout entier sera dans la lumière »

     

     

    ( ? ) 

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  • Socrate était un homme sage qui vivait en Grèce, il y a très longtemps.

    Un jour quelqu’un vint à lui et dit :

    -« Ecoute, Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s’est conduit.

    - Arrête ! interrompit l’homme sage. As-tu passé ce que tu as à me dire à travers les 3 tamis ?

    - Trois tamis ? dit l’autre rempli d’étonnement.

    - Oui mon bon ami : trois tamis. Examinons si ce que tu as à me dire peut passer par les trois tamis. Le premier est celui de la vérité. As-tu contrôlé si tout ce que tu veux me raconter est VRAI ?

    - Non, je l’ai entendu raconter et …..

    - Bien, bien. Mais assurément tu l’as fait passer à travers le deuxième tamis. C’est celui de la bonté. Est-ce que ce que tu veux me raconter, si ce n’est pas tout à fait vrai, est au moins quelque chose de BON ?

    - Hésitant, l’autre répondit : non ce n’est pas quelque chose de bon, au contraire …

    - Hum ! dit le Sage, essayons de nous servir du troisième tamis, et voyons s’il est UTILE de me raconter ce que tu as envie de me dire…

    - Utile ? Pas précisément ….

     

    -Eh bien ! dit Socrate en souriant, si ce que tu as à me dire n’est ni VRAI, ni BON, ni UTILE, je préfère ne pas le savoir, et quant à toi, je te conseil de l’oublier. »

     

     

    ( ? )

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